NOTES

 

Cf. « Aux yeux des Eupatrides, ces Autochtones, comme on disait, ces fils de la terre, verser son sang pour le pays, c'était, dans toute la force du terme accomplir un devoir filial; et l'on sait qu'Eschyle et ses frères étaient de la race des Eupatrides. Les premières leçons de la famille avaient dû être pour eux des leçons de patriotisme; et les premières leçons de la religion avaient fait germer ces heureuses semences. Qu'est-ce donc si vous ajoutez tout le reste de cet enseignement des mystères, si profond et si humain, et les dogmes de la philosophie pythagoricienne, forte et saine nourriture que le vieux Euphorion avait aussi offerte à l'âme de ses fils? » (Alexis Pierron, Notice, ouvrage cité, p. VI.)

Tout le paragraphe qui suit tisse des éléments venus de cet ouvrage, mais réécrits, réagencés et transformés. La comparaison tout au long du texte de Hugo et de ce document vaudrait d'être conduite pour elle-même et est facilitée par la disponibilité du texte de Pierron sur le web.